Faire, refaire, détruire, et recouvrir, parce qu’on n’aime pas assez, qu’on est insatisfait, qu’on a peine à rendre la fugacité du sentiment qu’on explore, douter et puis trouver. C’est cette frénésie à trouver qui rythme sa danse. Dans sa quête, pas toujours comblée, l’abstraction n’est jamais loin. On y tend, on la veut, la main libère la matière et les traits, et même si le thème est défini, Florence Grenot cherche jusqu’à s’épuiser la fulgurance du ressenti et la spontanéité du geste.
Extrait du texte « Florence Grenot, la puissance et la joie », de Sophie Mandrillon. Retrouvez l’intégralité du texte sur la page « A propos ».